Le congrès du SNCEEL a été l'occasion de réfléchir sur le plaisir au travail en temps de crise. Avec un panel d'intervenants de qualité, dont Benoît Serre, Vice-président de l’association nationale des directeurs des ressources humaines, les participants ont pu entendre des perspectives variées sur le sujet.
Benoît Serre a mis en avant l'importance de comprendre les transformations actuelles du rapport au travail, notamment la réforme des retraites, la semaine de 4 jours et le télétravail, et de trouver des moyens de les réconcilier avec les aspirations des employés. Il a également rappelé que, avant la crise COVID, de nombreuses entreprises se concentraient sur les aspects extérieurs au travail pour améliorer l'engagement des salariés, la productivité et la qualité de travail, en mettant en place des babyfoots, des salles de sport, des mini-crèches d'entreprise et même des "chief happiness officer".
Mais la crise COVID a tout changé, les entreprises n'étaient pas prêtes matériellement ni mentalement pour le télétravail, et cela a semé la panique dans les entreprises à plusieurs niveaux. C'est pourquoi il est maintenant important de s'intéresser à ce qui est vraiment important pour le plaisir au travail, comme l'utilité, l'impact et les compétences des employés, pour améliorer leur engagement et leur productivité.
En résumé, le congrès du SNCEEL a été l'occasion de réfléchir sur le plaisir au travail en temps de crise, en mettant l'accent sur les transformations actuelles du rapport au travail et les vraies raisons du plaisir au travail.
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